mercredi 13 février 2008 par Le Nouveau Réveil

Monsieur le ministre de la Communication, M. le ministre de la Fonction publique, M. le président du Groupe de travail, Mesdames et Messieurs des différents cabinets ministériels, M. le président du Conseil national de la presse, M. le représentant du Secrétaire général de l'UNJCI, M. le représentant de l'OLPED, M. le secrétaire général de l'UGTCI, le GEPCI par ma voix voudrait remercier chacun de vous sincèrement. Parce que chacun de vous nous a appuyé dans les débats, dans les discussions autour de cette convention collective révisée. De 2002 à 2008, cela fait vraiment des années. Nos travailleurs revendiquaient, un nouveau statut social. Cela fait des années aussi que nous employeurs donc éditeurs, nous nous accrochons à l'Etat de Côte d'Ivoire pour la mise en ?uvre de tout ce qui peut permettre la pérennisation de nos entreprises. Aujourd'hui nous sommes à un jour solennel, un jour particulier, la signature, enfin la signature de la nouvelle convention, la convention collective révisée. Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d'Ivoire (GEPCI) s'est engagé à la signature de cette convention sans y être forcé et sans réticence. Tout simplement parce que nous appartenons à une corporation et nous devons tous faire en sorte que le statut social soit amélioré. Et même quand leur statut est amélioré, c'est aussi la production, la rentabilité au sein de nos entreprises qui est améliorée. Nous sommes donc engagé pour l'application de cette convention. Nous voudrions tout simplement demander à l'Etat de Côte d'Ivoire, puisque cette convention est accompagnée de recommandations fortes, que nous considérons comme des mesures d'accompagnement, entre autres, les allègements fiscaux, la réduction substantielle du prix unitaire d'impression entière de la convention de Viennes ratifiée par la Côte d'Ivoire, la baisse de la commission perçue par les distributeurs, la répartition équitable de la manne publicitaire institutionnelle, ces mesures d'accompagnement, si elles sont satisfaites nous permettront de respecter l'engagement que nous prenons ce matin. Nous avons aussi cloué en annexe de ce document, que chacun de nous s'est porté volontiers à aller aux discussions, afin de mesurer l'engagement pris et que chacun sache si les mesures d'accompagnement énoncées tout à l'heure sont respectées ou pas. Dans 18 mois, nous allons donc penser à l'application effective de cette convention. Mais, 18 mois, nous n'avons pas de préalable à poser. Nous demandons tout simplement à l'Etat de Côte d'Ivoire, de faire l'effort qui peut nous sauver, qui peut sauver nos entreprises de presse. Une fois de plus, je voudrais donc dire merci au gouvernement de Côte d'Ivoire, merci aux différents ministères qui sont impliqués pour qu'enfin nous arrivions aujourd'hui à la signature de cette convention. Je voudrais, au nom des Editeurs de presse, dire merci à toute et à tous ".

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