mardi 14 juillet 2015 par Fraternité Matin

Alors qu'Henri Kasperczak faisait parti de la shortlist (en compagnie de Frédéric Antonetti et Michel Dussuyer) pour le poste de sélectionneur des Éléphants, le technicien franco-polonais a préféré choisir la Tunisie.

Dans la journée du lundi 13 juillet 2015, la Fédération tunisienne de football, via son site internet, annonçait le choix d'Henri Kasperczak comme le nouveau sélectionneur des Aigles de Carthage. Sans donner de détails et se contentant d'officialiser l'information que bien de sources développaient déjà le week-end. Au grand étonnement des sportifs ivoiriens qui voyaient le franco-polonais comme le remplaçant idéal d'Hervé Renard. Pour mieux comprendre le volte-face d'Henri Kasperczak, nous l'avons joint par téléphone dans la soirée du lundi.

"La fédération tunisienne a des ambitions qui sont très claires. Avec eux, il s'agira de chercher à améliorer la position de la Tunisie dans le football africain. Il y a aussi des aspects intéressants. C'est-à-dire la qualification pour la prochaine Can et surtout celle à la phase finale de la Coupe du monde 2018. Ce sont de réelles motivations qui m'ont pousser à aller travailler avec la Tunisie", indique-t-il. Non sans rappeler que dans le football tunisien.

"Il y a de la qualité. Il faut bien définir tout le travail qui va être abattu. J'ai des objectifs, des projets avec la Tunisie. Je reste concentré sur cette situation. Ce qui demande un travail minutieux. En général, il y a de très bons joueurs dans le championnat tunisien. C'est connu, il y a des clubs tunisiens qui sont très importants sur l'échiquier africain. C'est un avantage et c'est une base importante. De cette même manière, il y en a dans les championnats européens et plusieurs autres. C'est un projet qui nécessite l'efficacité". ... suite de l'article sur Fraternité Matin

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