mardi 14 juillet 2015 par Jeune Afrique

Albert Mabri Toikeusse préside depuis 2005 aux destinées de l'Union pour la démocratie et la paix en Côte d'Ivoire (UDPCI). Fondée par le général Guéï, elle constitue l'une des composantes du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP). Pendant la décennie de crise, ce médecin a été, tour à tour, ministre de la Santé (2003-2005), ministre de l'Intégration (2005-2007) et ministre des Transports (2007-2010), avant d'être écarté par Laurent Gbagbo.

Candidat face à Alassane Ouattara (Rassemblement des républicains ? RDR) en 2010, Albert Mabri Toikeusse a choisi cette fois-ci de se ranger derrière le chef de l'Etat en vue de la prochaine élection présidentielle prévue en octobre. En réalité, rien ne différencie nos projets de sociétés, c'est pour ça que nous nous retrouvons, a-t-il avoué à Jeune Afrique.

Jeune Afrique : Vous présidez l'UDPCI, êtes-vous satisfait de la place occupée par votre mouvement au sein de la coalition gouvernementale ?

Albert Mabri Toikeusse : La nature est ainsi faite que l'on n'est jamais totalement satisfait. Mais, nous prenons ce que nous avons et travaillons à avoir mieux.

Vous avez suivi l'appel de Daoukro lancé par Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en acceptant le principe de la candidature unique d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle
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